Création de modèles de la maladie de Parkinson
La maladie de Parkinson met des années pour affecter une population spécifique de cellules du cerveau. Cette phase lente et insidieuse a besoin d’être récapitulée pour que nous puissions comprendre la progression de la maladie et développer des thérapies. Nous proposons une approche, facilement transférable entre laboratoires du monde entier, qui permet une création rapide et contrôlable de modèles de la maladie de Parkinson. Cela permettra, nous l’espérons, de comprendre l’initiation et la progression de la maladie. Grâce à l’utilisation de « vecteurs viraux », virus modifiés devenus des outils inoffensifs, nous contrôlerons le niveau d’une protéine liée à la maladie de Parkinson (appelée PLK2) en espérant induire la progression de la maladie de Parkinson chez les rongeurs. Nous essaierons alors d’identifier les voies qui peuvent être ciblées par des médicaments nouveaux ou connus afin d’améliorer la vie des patients.
Porteur de projet
Eric KREMER
