Contribution des long-ARN non codant dans la maladie de Parkinson : une étude fonctionnelle
Des études sur un grand nombre de patients ont permis d’identifier des mutations dans le génome comme facteurs de risques associés à la maladie. Toutefois, nous ne comprenons pas le lien de cause à effet entre la majorité de ces mutations et la maladie de Parkinson.
Pour progresser dans cette compréhension il faut considérer le génome dans sa globalité et étudier non seulement les régions qui codent la fabrication des protéines mais aussi les régions non-codantes. Nous avons cartographié les éléments non-codants actifs du génome des neurones qui dégénèrent dans la maladie. Notre objectif est d’établir la fonction de deux de ces éléments et d’identifier de nouveaux mécanismes moléculaires reliés à la maladie afin d’imaginer de nouvelles stratégies thérapeutiques.
Porteur de projet
Philippe RAVASSARD
